Pourquoi aurait-on besoin d’un chiropraticien dans le cadre d’une carrière en danse ?

1. Les blessures

Personne n’est à l’abri d’une blessure et lorsque ça se produit, surtout lors d’une séquence de spectacles, on veut que ça se règle le plus rapidement possible. Mais qui consulter ? Un ostéopathe, un physiothérapeute, un kinésithérapeute, un massothérapeute ou un médecin ? En fait, le professionnel le mieux qualifié pour prendre soin des blessures sportives est un docteur en chiropratique. Les chiropraticiens ont des formations précises pour prendre soin des blessures sportives.

2. Les douleurs chroniques

Avec le temps, nous accumulons tous notre lot de douleurs et d’inconforts. En fait, ces douleurs s’installent parce que le corps humain n’a plus assez d’énergie pour s’adapter et se réparer comme il faut. En se faisant ajuster, le corps humain retrouve le chemin de la guérison et a le potentiel de se réparer comme il se doit.

3. La posture

Lorsque la colonne vertébrale d’un danseur est désalignée, son équilibre est modifié. La coordination des mouvements est différente, voire altérée. Ceci peut diminuer le potentiel d’un danseur lors d’un spectacle, surtout lors de routines difficiles.

Une posture croche demande beaucoup plus d’énergie au corps afin de se déplacer dans l’espace. Des mouvements répétés sur une posture croche peuvent aussi créer des blessures au niveau des genoux, chevilles, hanches et bas du dos.

4. La proprioception

Quoi de mieux que l’histoire d’une danseuse professionnelle pour vous expliquer comme la chiropratique peut vous aider dans votre carrière en danse

Voici l’histoire de Stacy Caddell :
« J’ai commencé à étudier le ballet à l’âge de 5 ans à Norfolk en Virginie. A l’âge de 10 ans, j’étudiais le ballet dans une école locale plus de 3 heures par jour, 7 jours par semaine. J’ai reçu une bourse d’étude du School of American Ballet à New York à l’âge de 16 ans et j’ai quitté la maison familiale pour continuer mes études à New York.

L’année suivante, j’ai été invitée à joindre le New York City Ballet par son fondateur, George Balanchine. Puisque ma première expérience avec la chiropratique était positive, j’ai découvert ce que c’était vraiment et je consulte en chiropratique préventivement maintenant. Les médicaments ne fonctionnent pas pour les danseurs. Ceux-ci viennent engourdir les sens et diminuent la dextérité. Et pour ce qui est de la chirurgie — je peux compter sur les doigts de ma main le nombre de danseurs qui sont retournés sur les planches. La révélation pour moi a été que le corps a la capacité de se réparer de lui-même, la chiropratique fonctionne parce que c’est naturel : nutrition, ajustements pour stimuler le système nerveux et les exercices, tout cela est plein de bon sens.

La chiropratique a été le plus beau cadeau qui a été fait à ma carrière. La chiropratique m’a gardée en santé, a diminué le temps de récupération après une blessure, et m’a donné une attitude positive et affirmée face aux dures demandes physique de la danse. Je danse maintenant avec le New York City Ballet depuis 1980. J’ai donné des spectacles devant des milliers et des millers de spectateurs en travaillant avec des centaines de danseurs. Je ne peux imaginer ce qu’aurait été le métier de danseuse sans la chiropratique, et encore mieux, je ne peux imaginer quiconque à son plein potentiel sans la chiropratique. » –Stacy Caddell

n.d.l.r. : Stacey Caddell a pris sa retraite du spectacle et enseigne maintenant le ballet depuis 2000 au Ballet Academy East de New York.